Vous vous sentez inutile, vous êtes possiblement en échec, en manque d’estime de vous même, vous n’avez peut-être pas confiance, vous n’avez pas une santé de fer ou encore, peut-être que vous ne vous sentez pas attirant. Peu importe la raison de votre « mal-être », vous avez sans doute été voir quelqu’un à ce sujet mais ça n’a pas été transcendant, ou bien cela a permis de mieux fonctionner d’un côté sans pour autant tout régler.
Aujourd’hui, j’ai envie de vous partager une vision de l’être humain différente que ce que des médecins, psychologues ou autres peuvent vous dire.
1/ Trop de spécialisations
Alors, ce n’est pas tant un problème car les spécialistes sont capables de connaitre des endroits de notre corps à un niveau formidable et qu’ils peuvent faire des miracles. C’est le cas pour certaines maladies. Sauf que parfois, il vaut mieux dézoomer pour avoir une vision plus claire du problème.
Un humain, c’est pas qu’un cerveau ou un foie par exemple.
Personnalité d’une personne = phénomènes génétiques + phénomènes épigénétiques
Il y a des choses qu’on ne peut changer mais en revanche, l’épigénétique, ce sont l’expression de nos gènes et sont donc influençables par tout ce qui nous compose aussi bien de l’extérieur que de l’intérieur de notre corps, et nous avons la main dessus.
2/ Le burn-out, la dépression, c’est chimique.
Et non ! Ce n’est pas dans votre tête, enfin du moins pas que. Pourtant, vous parlez aux médecins, si votre corps fonctionne, alors vous délirez. Vous aurez beau faire des prises de sang, aller voir des spécialistes etc… vous n’aurez pas de réponse. Pourquoi ? Parce qu’ils ne dézooment pas.
Vous n’arrivez pas dans cette situation par hasard. De même qu’être timide, ne plus avoir d’énergie ou avoir un manque de confiance en soi n’est pas que du à votre manque de compétence.
Par exemple le burn-out, c’est l’épuisement de vos glandes surrénales. On le voit par une chute du cortisol et un neuromédiateur qu’on appelle la dopamine. Cela vous paralyse et vous donne aucune motivation, et vous devenez intolérant au stress. C’est donc une maladie et non pas dans votre tête.
Même chose pour la dépression, on constate une inflammation des intestins entrainant une neuro-inflammation et une perte drastique d’un autre neuromédiateur qui la sérotonine. Problème digestif, mélancolie, maladies récurrente, sommeil dégradé seront de la partie.
Bref vous l’aurez compris, l’accompagnement d’un être humain ne résoud pas à donner des pilules magiques et dire « bouge toi, c’est dans ta tête ! »
3/ Ce qu’il faut entrevoir
De même, que des phénomènes sociaux peuvent changer votre comportement, il faut voir l’humain dans son ensemble. Je l’explique dans cette vidéo via le triangle neurobiochimique.

Cette simplification donné par Arash Zarrinpour et Mani Hesam permet de comprendre que des pensées ou environnements peuvent influencer vos muscles et votre biologie. L’accompagnement par conséquent doit intégrer le maximum de variables, car votre humeur peut-être due tout simplement à une carence de minéraux/vitamines empêchant la sécrétion de neuromédiateurs, et par conséquant, il serait bête de vous droguer aux benzodiazépines (anxiolytiques) ou les anti-dépresseurs à la recapture de dopamine/sérotonine. Quand on sait les effets secondaires et les risques d’échecs, ça faire cher payé pour vous donner une renaissance.
Vous pourrez retrouver ma méthode dans les formations Comment retrouver l’estime de soi – « Decryptorse elevation » et Lutter contre le burn-out – « Machine Indestructible ».